Derrière Ubaya Bali, il y a une femme.
Une histoire de courage, d’intuition, et de renaissance.
01 - Le début du chemin
Dès mes 18 ans, j’ai voulu tracer ma propre route.
Je suis de nature indépendante — j’ai toujours voulu apprendre, évoluer, prendre ma vie en main.
J’ai fait mes études en alternance, dans le commerce, la logistique, puis la communication et le marketing.
Chaque expérience m’a appris la discipline, la rigueur, et la force de caractère.
02 - Les responsabilités très tôt
À seulement 18 ans, je manageais déjà une équipe de 17 personnes.
Plus tard, j’ai piloté de gros projets dans une entreprise logistique.
J’ai préparé les équipes au changement, créé les processus de formation, et digitalisé tous les anciens process papier.
C’était exigeant, mais incroyablement formateur.
J’apprenais à gérer l’humain, à écouter, à diriger.
03 - L’appel de la créativité
Puis j’ai découvert le marketing et la communication.
C’est là que j’ai pu exprimer ma créativité : imaginer, construire, raconter des histoires.
Je gérais une équipe, des projets, et parfois j’étais seule à tout porter.
J’adorais ce que je faisais… mais au fond, quelque chose manquait.
Je sentais que je m’éloignais de ce qui me faisait vibrer.
04 - Le trop-plein
Deux mois avant la fin de mon master, j’ai eu le courage d’arrêter.
Je n’étais plus alignée.
Malgré tout, j’ai décroché un CDI dans l’entreprise où j’avais fait mon alternance.
Je travaillais pour un centre de formation d’anglais et un producteur de musique — c’était intense, stimulant.
Mais après neuf mois, j’ai craqué. Pas un burn-out, mais un trop-plein.
Je ne me voyais plus passer ma vie enfermée entre quatre murs.
Moi, j’ai besoin de contact, de créer, de bouger. Alors j’ai tout quitté.
05 - Le vide et la recherche
Et là, une période de flou total.
Je ne savais plus qui j’étais sans ce rythme, sans ce cadre.
J’ai testé plusieurs métiers : cheffe de réception dans l’hôtellerie, hôtesse dans l’événementiel de luxe…
Je me suis même formée en tant que barmaid et serveuse pour des événements très luxueux, afin de remettre un peu d’économies de côté.
J’ai déménagé, changé d’environnement, de rythme, de vie.
Mais rien ne vibrait vraiment.
C’était une année de transition, d’incompréhension, de remise en question profonde.
06 - Le tournant
En août 2024, je me réveille un matin, en pleine mission d’hôtesse que je faisais pendant un mois, et je me dis :
“Mais qu’est-ce que je fais de ma vie ?”
Je sens qu’il faut que je parte. Que je m’éloigne pour me retrouver.
Je vais sur un groupe Facebook des Français en Australie, persuadée qu’il faut que j’améliore mon anglais.
Mais la vie me ramène sans cesse à Bali.
Chaque signe, chaque conversation, chaque ressenti m’y conduit.
Alors j’écoute.
Je rends mon appartement, je confie mon chat à ma famille, et je prends un billet.
Sans plan, juste l’intuition que tout doit commencer là-bas.
07 - Les débuts à Bali
Mon arrivée n’a rien d’un rêve.
J’avais réservé des hôtels différents chaque jour, pensant “profiter”…
Résultat : je bougeais sans arrêt, épuisée, encore décalée par le voyage.
Je voyais partout des couples heureux, pendant que moi, seule, je doutais de tout.
Et au bout de quelques jours, je tombe malade — le fameux Bali Belly.
Une semaine clouée dans une petite chambre sans fenêtre.
Je pleurais tous les jours.
Je me disais : “Pourquoi je suis venue ?”
Mais avec le recul, c’est là que j’ai commencé à lâcher prise.
08 - Les rencontres et les signes
Quand je me suis relevée, j’ai décidé d’aller vers les autres.
Sur des groupes Facebook, j’ai rencontré deux personnes dans le bien-être.
Elles m’ont donné des clés pour aller mieux, m’ont aidée à comprendre que tout arrive pour une raison.
L’une d’entre elles m’a même poussée à apprendre le scooter — alors que pour moi, c’était juste impensable de monter dessus.
Et au final, je me suis retrouvée, pleine de fierté, à faire le tour de l’île en scooter.
J’ai gagné confiance en moi. Et j’ai commencé à me retrouver.
09 - L'éveil
Petit à petit, j’ai retrouvé mon énergie.
Je me suis ouverte à plein de choses : yoga, méditation, cérémonies, purification.
Pas pour “suivre une mode”, mais pour me retrouver.
Et plus je m’apaisais, plus mon intuition devenait claire.
Je sentais que Bali avait quelque chose à me révéler.
10 - Le déclic créatif
Un jour, je tombe sur des artisans balinais.
Leurs créations, leurs sourires, leur façon de travailler m’émeuvent.
Je ressens quelque chose de fort — ce lien entre beauté, simplicité et authenticité.
Moi qui ai toujours adoré la déco, et surtout la déco de Bali, je sens ce feu revenir en moi.
Je me surprends à rêver :
“Et si je créais quelque chose, ici, à mon image ?”
Mais la raison me murmure : “C’est trop compliqué, c’est impossible”, “Tu n’as plus d’économie, ce n’est pas possible.”
Pourtant, la vie avait d’autres plans pour moi.
11 - La première création
Avant Ubaya Bali, il y a eu une bague.
Je l’ai dessinée, imaginée, puis créée lors d’un atelier.
Un bijou symbolique, plein de sens.
Quand je l’ai partagée sur mes réseaux, tout le monde l’a adorée.
Et là, un premier signe : ma créativité touche les gens.
Peu après, je rencontre quelqu’un qui me propose de m’aider à réaliser mes rêves enfouis : il prendrait en charge la partie financière et logistique, et moi, je n’aurais qu’à sélectionner les produits.
On envoie alors un premier carton en France. Et quelques temps après cet envoi, j’ai une révélation.
Je me rends compte que je peux le faire seule. Que je suis capable.
Quelques jours plus tard, je décide de me lancer pour de vrai.
12 - La naissance d’Ubaya Bali
En quinze jours, tout prend forme : le nom, le concept, les premiers produits.
Je vais à la rencontre des artisans, je sélectionne chaque pièce, je crée, je rêve.
Ubaya Bali est née.
Entre mes mains, entre deux mondes : celui de Bali et celui de la femme que je devenais.
Peu après, je pars quelques semaines en Thaïlande — mais même là-bas, je travaille jour et nuit sur mon projet.
Je savais que c’était le début d’une grande aventure.
13 - Le retour et la suite
À mon retour en France, je n’avais presque plus rien.
Mais j’avais tout investi dans ce rêve.
Je lance ma marque sur les marchés, je vous raconte mon histoire, et votre accueil est incroyable.
Vos sourires, vos mots, votre bienveillance me donnent la force de continuer.
Aujourd’hui, Ubaya Bali grandit entre la France et Bali.
Chaque pièce raconte une histoire, chaque création est une part de moi.
Quand on écoute son cœur, la vie s’aligne d’elle-même.
Et parfois, il faut se perdre pour enfin se retrouver.
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